lundi 21 août 2006
PENSEE DE LA SEMAINE
"Une photographie, c'est un arrêt du coeur d'une fraction de seconde."
Pierre MOVILLA
(Photographe)
L'INFO EN PLUS - LA CHARADE DE VICTOR HUGO
Voici une fameuse charade, rédigée par Victor HUGO lui-même.
Vous pouvez publier vos réponses dans les commentaires, ou bien me les envoyer par e-mail à lepetitsauvage@yahoo.fr .
Il n'y a rien à gagner, bien sûr, sauf le plaisir d'avoir résolu la charade de Victor HUGO.....
Vous avez trouvé ? Ecrivez-moi vite.....
La réponse sera publiée la semaine prochaine....
Vous pouvez publier vos réponses dans les commentaires, ou bien me les envoyer par e-mail à lepetitsauvage@yahoo.fr .
Il n'y a rien à gagner, bien sûr, sauf le plaisir d'avoir résolu la charade de Victor HUGO.....
Mon premier est bavard
Mon second est un oiseau
Mon troisième est au café
Mon tout est une pâtisserie...
Vous avez trouvé ? Ecrivez-moi vite.....
La réponse sera publiée la semaine prochaine....
L'ENFANT PERDU
Excusez moi de vous déranger
Madame, Monsieur,
J’ai perdu un enfant
Oh il n’est pas bien haut
Il n’a pas huit ans
Ses cheveux sont châtains
Il a des dents de lapin
Aidez moi à le retrouver
Je vous en supplie
Il jouait sur la balancelle
Quand d’un coup
Il s’est enfui
Il a disparu
Il s’est envolé, il a pris la poudre
D’escampette
Probablement
J’aimais ses rires
J’aimais ses rêves
Et ses espoirs
J’aimais aussi sa peur du noir
J’aimais ses yeux brillants
Devant les ailes d’un avion
J’aimais ses illusions
Ses désirs et joies d’enfant
Vous le reconnaîtrez facilement
Il rit d’un rien
Il pleure parfois
Et il met les doigts dans son nez
Même en Société
Il me manque
Les Tuileries sont bien tristes
Sans lui
Excusez moi de vous déranger
Madame, Monsieur,
Vous ne m’auriez pas vu ?
Je me suis perdu…
Madame, Monsieur,
J’ai perdu un enfant
Oh il n’est pas bien haut
Il n’a pas huit ans
Ses cheveux sont châtains
Il a des dents de lapin
Aidez moi à le retrouver
Je vous en supplie
Il jouait sur la balancelle
Quand d’un coup
Il s’est enfui
Il a disparu
Il s’est envolé, il a pris la poudre
D’escampette
Probablement
J’aimais ses rires
J’aimais ses rêves
Et ses espoirs
J’aimais aussi sa peur du noir
J’aimais ses yeux brillants
Devant les ailes d’un avion
J’aimais ses illusions
Ses désirs et joies d’enfant
Vous le reconnaîtrez facilement
Il rit d’un rien
Il pleure parfois
Et il met les doigts dans son nez
Même en Société
Il me manque
Les Tuileries sont bien tristes
Sans lui
Excusez moi de vous déranger
Madame, Monsieur,
Vous ne m’auriez pas vu ?
Je me suis perdu…
LA MAUVAISE SOEUR
Elle les suit depuis tout en bas
Mais elles ne le savent pas
Elle est immaculée, légère
Le désir d’une jeune première
Le désir elle l’a bien connue
Il était marin au torse velu
La peau tannée par les embruns exotiques
De Panama, du Chili, du Mexique
Comme dans une chanson de Piaf
Leurs regards se sont croisés et Paf !
Le coup de foudre inévitable
Ils font l’amour dessous la table
D’un petit troquet sans âme
Où Dieu s’étouffe dans les flammes
Des amours interdites.
C’était il y a longtemps,
Elle ne sait même plus
Le prénom de cet amant d’instants
Mais depuis elle est de blanc vêtue
Comme pour mieux dissimuler
Son manque coquin de chasteté.
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