Nicolas Hulot ne se présente finalement pas à l'élection présidentielle française. Qui saura alors appliquer ses idées nécessaires, comme la généralisation du développement durable et les autres propositions de son Pacte Ecologique ? lundi 22 janvier 2007
A LA UNE - PRESIDENTIELLES 2007 - NICOLAS HULOT RENONCE A SE PRESENTER
Nicolas Hulot ne se présente finalement pas à l'élection présidentielle française. Qui saura alors appliquer ses idées nécessaires, comme la généralisation du développement durable et les autres propositions de son Pacte Ecologique ? 
PENSEE DE LA SEMAINE
"La poésie se fait dans un lit comme l'amour. Ses draps défaits sont l'aurore des choses."
André Breton
L'INFO EN PLUS - LES LANGUES DE TOLKIEN
On ne présente plus John Ronald Reul Tolkien, ni l'oeuvre fabuleuse qu'est le Seigneur des Anneaux.
On sait moins, en revanche, que M.Tolkien inventa une pléiade de langues pour son monde...
J.R.R. Tolkien, qui écrivit le Seigneur des Anneaux, était passionné par les langues anciennes telles que le Gaélique, ou l'alphabet runique, qu'il enseignait.
Il voulut doter la Terre du Milieu de langues totalement nouvelles. Il en créa ainsi... 18, dont 4 pourraient être parlées couramment.
La langue elfique, par exemple, compte près de 40 000 mots, contre 60 000 pour le français!!!
Ainsi la partie du poème sur lequel s'ouvre le "Seigneur Des Anneaux :
"Un anneau pour les gouverner tous
Un anneau pour les trouver
Un anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier."
devient en parler noir :
"Ash nâzg durbatulûk,
Ash nâzg gimpatul,
Ash nâzg thrakatulûk ash bruzum ishi krimpatul".
Dans le film de Peter Jackson, les elfes parlent vraiment "l'elfique"...
On sait moins, en revanche, que M.Tolkien inventa une pléiade de langues pour son monde...
J.R.R. Tolkien, qui écrivit le Seigneur des Anneaux, était passionné par les langues anciennes telles que le Gaélique, ou l'alphabet runique, qu'il enseignait.
Il voulut doter la Terre du Milieu de langues totalement nouvelles. Il en créa ainsi... 18, dont 4 pourraient être parlées couramment.
La langue elfique, par exemple, compte près de 40 000 mots, contre 60 000 pour le français!!!
Ainsi la partie du poème sur lequel s'ouvre le "Seigneur Des Anneaux :
"Un anneau pour les gouverner tous
Un anneau pour les trouver
Un anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier."
devient en parler noir :
"Ash nâzg durbatulûk,
Ash nâzg gimpatul,
Ash nâzg thrakatulûk ash bruzum ishi krimpatul".
Dans le film de Peter Jackson, les elfes parlent vraiment "l'elfique"...
LES RECETTES DU PETIT SAUVAGE - L'HYDROMEL
Voici la véritable recette de l'hydromel, boisson des elfes, des fées et des druides ....
Une recette bien utile pour qui en côtoie ...
Ingrédients :
- 6 kilogrammes de miel d'abeille (de préférence du miel de châtaigner)
- 15 litres d'eau
- 25 grammes de gingembre en poudre
- 15 grammes de cannelle
- 15 grammes de cardamome (facultatif)
- 2 paquets de levure chimique
- Un petit tonneau de bois
- Quelques bouteilles
Faire bouillir les 6 kilogrammes de miel d'abeille jusqu'à ce que ce soit liquide.
L'écumer.
Recouvrir le miel bouilli de 15 litres d'eau, ajouter 25 grammes de gingembre en poudre, puis 15 grammes de cannelle et enfin 15 grammes de cardamome (facultatif).
Laisser bouillir jusqu'à ce que le mélange soit réduit d'un quart environ.
Sortir du feu, laisser refroidir.
Rajouter le contenu de 2 paquets de levure chimique.
Laisser reposer le tout pendant une semaine.
Mettre le contenu dans un petit tonneau de bois puis placer au frigidaire pendant 2 semaines, après avoir veillé à ce qu'il soit fermé bien hermétiquement.
Embouteiller enfin et laisser reposer la bouteille pendant 2 mois environ.
Servez à votre fée, votre elfe, ou votre druide.
Regardez ses yeux pétiller.
Buvez à votre tour.
Et pétillez aussi...
Une recette bien utile pour qui en côtoie ...
Ingrédients :
- 6 kilogrammes de miel d'abeille (de préférence du miel de châtaigner)
- 15 litres d'eau
- 25 grammes de gingembre en poudre
- 15 grammes de cannelle
- 15 grammes de cardamome (facultatif)
- 2 paquets de levure chimique
- Un petit tonneau de bois
- Quelques bouteilles
Faire bouillir les 6 kilogrammes de miel d'abeille jusqu'à ce que ce soit liquide.
L'écumer.
Recouvrir le miel bouilli de 15 litres d'eau, ajouter 25 grammes de gingembre en poudre, puis 15 grammes de cannelle et enfin 15 grammes de cardamome (facultatif).
Laisser bouillir jusqu'à ce que le mélange soit réduit d'un quart environ.
Sortir du feu, laisser refroidir.
Rajouter le contenu de 2 paquets de levure chimique.
Laisser reposer le tout pendant une semaine.
Mettre le contenu dans un petit tonneau de bois puis placer au frigidaire pendant 2 semaines, après avoir veillé à ce qu'il soit fermé bien hermétiquement.
Embouteiller enfin et laisser reposer la bouteille pendant 2 mois environ.
Servez à votre fée, votre elfe, ou votre druide.
Regardez ses yeux pétiller.
Buvez à votre tour.
Et pétillez aussi...
LES FRANCAIS AURAIENT PU ETRE...ANGLAIS !
(Source : Agence Reuters)
Selon des documents que les historiens redécouvrent avec étonnement, Paris et Londres ont envisagé l'impensable dans les années 1950 : que les deux pays n'en fassent plus qu'un, la reine Elisabeth II devenant alors chef de l'Etat français.
Un document britannique de 1956 montre que, le 10 septembre de la même année, le président du Conseil français Guy Mollet se rendit à Londres pour étudier une fusion éventuelle des deux pays avec le Premier ministre britannique Anthony Eden.
Eden rejeta l'idée mais, d'après des documents, se montra intéressé par une autre proposition de Mollet: l'admission de la France au sein du Commonwealth, ensemble de pays entretenant des liens historiques avec la Grande-Bretagne.
De part et d'autre de la Manche, des commentateurs ont avoué leur surprise.
"Cela illustre à merveille à quel point la Grande-Bretagne et la France sont vouées à s'entremêler pour le meilleur ou pour le pire", a déclaré à Reuters Denis MacShane, ancien ministre aux Affaires européennes de Tony Blair. "C'est un ajout charmant à cet éternel enchevêtrement."
"Les destins des deux pays sont liés depuis que Guillaume le Conquérant a tenté de faire de l'Angleterre une colonie française il y a mille ans."
Dans une publication officielle britannique de 1956, on lit: "Lors d'un récent séjour à Londres, le président du Conseil français, Monsieur Mollet, a évoqué la possibilité d'une union entre le Royaume-Uni et la France."
Selon un autre document, daté du 28 septembre 1956, Eden a estimé, à la lumière de ses entretiens avec les dirigeants français, "que l'on devait prendre en considération sans délai une adhésion de la France au Commonwealth; que Monsieur Mollet ne pensait pas que l'acceptation de la souveraineté de Sa Majesté par la France soulève des difficultés; (et) que les Français seraient favorables à une citoyenneté commune sur le modèle irlandais".
A l'époque des propositions de Guy Mollet, la France était en butte aux effets économiques de sa lutte contre les indépendantistes algériens et de la crise centrée sur le contrôle du canal de Suez.
Pour MacShane, cette "révélation" montre que les "meilleurs morceaux d'histoire sont les notes de bas de page".
L'ancien ministre prédit encore un grand avenir d'amour et de haine aux deux pays voisins: "La France et l'Angleterre ressemblent à un vieux couple marié dans lequel chacun songe souvent à tuer l'autre sans jamais envisager un divorce".
Selon des documents que les historiens redécouvrent avec étonnement, Paris et Londres ont envisagé l'impensable dans les années 1950 : que les deux pays n'en fassent plus qu'un, la reine Elisabeth II devenant alors chef de l'Etat français.
Un document britannique de 1956 montre que, le 10 septembre de la même année, le président du Conseil français Guy Mollet se rendit à Londres pour étudier une fusion éventuelle des deux pays avec le Premier ministre britannique Anthony Eden.
Eden rejeta l'idée mais, d'après des documents, se montra intéressé par une autre proposition de Mollet: l'admission de la France au sein du Commonwealth, ensemble de pays entretenant des liens historiques avec la Grande-Bretagne.
De part et d'autre de la Manche, des commentateurs ont avoué leur surprise.
"Cela illustre à merveille à quel point la Grande-Bretagne et la France sont vouées à s'entremêler pour le meilleur ou pour le pire", a déclaré à Reuters Denis MacShane, ancien ministre aux Affaires européennes de Tony Blair. "C'est un ajout charmant à cet éternel enchevêtrement."
"Les destins des deux pays sont liés depuis que Guillaume le Conquérant a tenté de faire de l'Angleterre une colonie française il y a mille ans."
Dans une publication officielle britannique de 1956, on lit: "Lors d'un récent séjour à Londres, le président du Conseil français, Monsieur Mollet, a évoqué la possibilité d'une union entre le Royaume-Uni et la France."
Selon un autre document, daté du 28 septembre 1956, Eden a estimé, à la lumière de ses entretiens avec les dirigeants français, "que l'on devait prendre en considération sans délai une adhésion de la France au Commonwealth; que Monsieur Mollet ne pensait pas que l'acceptation de la souveraineté de Sa Majesté par la France soulève des difficultés; (et) que les Français seraient favorables à une citoyenneté commune sur le modèle irlandais".
A l'époque des propositions de Guy Mollet, la France était en butte aux effets économiques de sa lutte contre les indépendantistes algériens et de la crise centrée sur le contrôle du canal de Suez.
Pour MacShane, cette "révélation" montre que les "meilleurs morceaux d'histoire sont les notes de bas de page".
L'ancien ministre prédit encore un grand avenir d'amour et de haine aux deux pays voisins: "La France et l'Angleterre ressemblent à un vieux couple marié dans lequel chacun songe souvent à tuer l'autre sans jamais envisager un divorce".
Inscription à :
Articles (Atom)