dimanche 5 novembre 2006

A LA UNE - PUISQUE LE SEXE FAIT VENDRE...


Puisque le sexe fait vendre, j'en mets en Une pour attirer le chaland et augmenter le trafic sur le blog.... Alors, c'est vendeur ? Ca va les ours ?

PENSEE DE LA SEMAINE

"Si le problème a une solution, il ne sert à rien de s'inquiéter. Mais s'il n'en a pas, alors s'inquiéter ne change rien."
Proverbe Tibétain

L'INFO EN PLUS - L'HISTOIRE DES MARMOTS


Deux enfants de Saint-Geniez-d'Olt (dans le Lot) avaient apprivoisé une petite marmotte recueillie en montagne.

Elle leur était devenue très familière.

Un jour, l'orage menaçant, elle s'enfuit prise d'une grande frayeur vers les pentes boiseés toutes proches.

Aussitôt les enfants la poursuivent, et ne la rattrapent que bien plus tard sous un vrai déluge. Ils s'abritent pour la nuit dans une cabane et ne regagnent le village que le lendemain.

Là, un triste spectacle les attend. Leur quartier a été dévasté par une crue soudaine du Lot, et leurs parents noyés.

La marmotte, grâce à son sixième sens, avait flairé le danger et les avait sauvés.

Recueillis par des voisins charitables, on va les appeler les Marmots.

Par extension, ce terme va désigner les enfants du quartier, puis tous les enfants du village, puis de la région, puis, le mot "marmot" est définitivement entré dans le langage courant.

Dans le village de Saint Geniez d'Olt, les anciens racontent, que certains soirs d'orage, on peut voir passer une petite marmotte pressée sur le Pont Vieux...

LA PLUME DU PETIT SAUVAGE - CHRONIQUE - "HORS CADRE"

Je connais quelqu’un qui dessine hors des cadres des tableaux.

C’est une magicienne peut-être.

En tous cas, je vous le promets, cette personne là,

Elle dessine
Hors des cadres
Des tableaux.

Quelle belle idée de vie.

Quelle belle leçon de vue.

Quelle personne assez riche de cœur, assez folle d’esprit, peut inventer, créer, imaginer l’univers qu’il y a hors du cadre du tableau ?

Quelle personne peut avoir l’idée, l’audace, de proposer la suite de l’univers qui a été enfermé entre quatre petits bouts de bois ?

Et pourtant, c’est tellement évident. Personne n’y pense jamais, mais ça saute aux yeux, même si on ne le voit pas.

L’univers du tableau, de l’image, de la photo, ne s’arrête pas avec les limites du cadre. Il est infiniment riche, infiniment présent, existant dans les moindres recoins du visible, il nous suffit pour cela de faire marcher notre imaginaire.

Prenez la Joconde de Vinci. Son univers ne s’arrête pas à l’espace immortalisé par le Maître. L’univers de la Joconde est aussi autour, derrière, devant tout ce qui est présent dans le tableau.

Je connais donc quelqu’un qui dessine hors des cadres des tableaux. Je suis absolument sidéré par la richesse de sens qu’a cette idée, par la force de l’imaginaire, et la simplicité magique de la démarche.

Elle prend un tableau, une photo, une carte postale, elle la pose sur une toile plus grande, et toute blanche, et elle invente la suite de l’univers.

On devrait tous faire pareil. On devrait tous ôter nos œillères et créer, inventer, imaginer ce qu’il y a derrière les cadres.

Les cadres des tableaux.

Mais aussi les cadres de nos vies, les cadres de nos peurs, les cadres de nos rêves, et ceux de nos espoirs. C’est une des faiblesses de l’homme, que de tout vouloir définir, délimiter, encadrer, réduire, contrôler, dominer. Alors on range tout dans des cases, dans des cadres, dans des frontières, dans des enclos, tout et chacun a sa petite place bien définie, sans aucun espoir d’épanouissement hors cadre.

Y’a-t-il pourtant plus grand plaisir que celui d’exister hors de son cadre ? Que de sortir de sa cage, de son enclos, de ses frontières, réelles ou imaginaires ? Que de dépasser ses limites, que de dépasser le cadre limité de nos petites existences pour faire autrement, pour faire différemment, pour faire ailleurs ?

Et voilà d’un coup que le tableau existe autrement, hors de son cadre, qu’on lui voit d’autres motifs, d’autres couleurs, d’autres sens, d’autres perspectives, et voilà d’un coup que tout semble mieux, impromptu, et surprenant.

Tout est hors cadre.

Tout est surprise.

Tout est à imaginer.

Il ne faut pas s’arrêter à ce que l’on voit, ou à ce que l’on sait. Il faut toujours aller vers ce que l’on croit, et vers ce que l’on rêve.

Je connais quelqu’un qui dessine hors des cadres des tableaux
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A PROPOS D'HALLOWEEN

Horreur chez les scientifiques: de nombreux Américains croient vraiment aux fantômes, aux maisons hantées et autres vampires. A tel point que certains se sont fait chasseurs de zombies pour répéter ce que la science considère de longue date comme des évidences.


Effrayé par la crédulité des Américains pour les phénomènes paranormaux, le physicien Costas Efthimiou, de l'université de Floride Centrale, a décidé d'utiliser les armes de la physique et des mathématiques pour démonter certaines croyances tenaces.

Ainsi, il prouve très simplement que les fantômes n'existent pas.

« Comment, en effet, pourraient-ils à la fois marcher et traverser les murs? C'est impossible, car cela viole la deuxième loi de Newton, celle d'action-réaction: s'ils marchent, c'est qu'ils exercent une force sur le sol, tandis que s'ils traversent les murs, c'est qu'ils n'en exercent aucune, et les deux ne sont pas compatibles. »

Quant aux vampires, ils sont définitivement détruits par un simple exercice de maths.

« Si un vampire doit sucer le sang d'un humain chaque mois, faisant de celui-ci un vampire qui doit à son tour trouver une nouvelle victime par mois, combien de temps aurait-il fallu à un seul vampire pour "contaminer" les 537 millions d'hommes qui vivaient sur terre en 1600? Moins de trois ans, alors, soit nous sommes tous des vampires, soit ils n'existent tout simplement pas. »

Ce sont des évidences, mais les gens ne les considèrent pas toujours comme telles, se justifie Costas Efthimiou. Ainsi, selon un sondage Gallup réalisé en 2005, plus d'un Américain sur trois pensent qu'une maison peut être hantée et plus de 20% d'entre eux croient aux sorcières ou à la communication avec les morts.