dimanche 29 octobre 2006
L'INFO EN PLUS - DE L'INTERET DE LA DIFFERENCE
On a longtemps cru que c'était le spermatozoïde le plus rapide qui réussissait à féconder l'ovule. Il n'en est rien. Plusieurs centaines de spermatozoïdes parviennent en même temps autour de l'oeuf. Et ils restent là à attendre, dandinant de la flagelle. Un seul d'entre eux sera élu.C'est donc l'ovule qui choisit le spermatozoïde gagnant parmi toute la masse de spermatozoïdes quémandeurs qui se pressent à sa porte.
Selon quels critères?
Les chercheurs se sont longtemps posés la question. Ils ont récemment trouvé la solution: l'ovule jette son dévolu sur "celui qui présente les caractères génétiques les plus différents des siens". Question de survie. L'ovule ignore qui sont les deux partenaires qui s'étreignent au-dessus de lui, alors il cherche tout simplement à éviter les problèmes de consanguinité. La nature veut que nos chromosomes tendent à s'enrichir de ce qui leur est différent et non de ce qui leur est similaire.
(source : Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu)
Selon quels critères?
Les chercheurs se sont longtemps posés la question. Ils ont récemment trouvé la solution: l'ovule jette son dévolu sur "celui qui présente les caractères génétiques les plus différents des siens". Question de survie. L'ovule ignore qui sont les deux partenaires qui s'étreignent au-dessus de lui, alors il cherche tout simplement à éviter les problèmes de consanguinité. La nature veut que nos chromosomes tendent à s'enrichir de ce qui leur est différent et non de ce qui leur est similaire.
(source : Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu)
LA PLUME DU PETIT SAUVAGE - POESIE - "LA ROUTE"
Trois petits chevaux
Sont sous un capot
Et vous emmènent coucher
Vers le soleil levant
Et vous emmènent rêver
Vers d’autres firmaments
Trois petits chevaux
Sont sous un capot
Et font battre votre cœur
A soixante dix à l’heure
Et font battre vos paupières
Sur mille nouvelles terres
Trois petits chevaux
Sont sous un capot
Et ouvrent de nouvelles voies
Qui nous laissent sans voix
Et ouvrent quelques horizons
Dont on invente les noms
Trois petits chevaux
Dans une boîte en fer
Une idée du paradis
Ou bien de l’enfer
Et le temps qui passe
Inlassablement
Le temps qui laisse filer
Le théâtre de nos vies
Le temps qui laisse rêver
Ceux qui en ont envie
Sont sous un capot
Et vous emmènent coucher
Vers le soleil levant
Et vous emmènent rêver
Vers d’autres firmaments
Trois petits chevaux
Sont sous un capot
Et font battre votre cœur
A soixante dix à l’heure
Et font battre vos paupières
Sur mille nouvelles terres
Trois petits chevaux
Sont sous un capot
Et ouvrent de nouvelles voies
Qui nous laissent sans voix
Et ouvrent quelques horizons
Dont on invente les noms
Trois petits chevaux
Dans une boîte en fer
Une idée du paradis
Ou bien de l’enfer
Et le temps qui passe
Inlassablement
Le temps qui laisse filer
Le théâtre de nos vies
Le temps qui laisse rêver
Ceux qui en ont envie
Merci.
http://routedeleau.blogspot.com
CHANSON - LES MOTS D'AMOUR
On trouve des vérités éclatantes, parfois, dans le vieux répertoire de la chanson française.
Par exemple, Michel Rivegauche, le parolier fétiche d'Edith Piaf, écrit, à la fin des années 40, ce texte magnifique, qui nous rappelle que les mots, les mots d'amour, sont bien désuets, sont trop souvent utilisés, parfois à mauvais escient, où en tous cas sans en mesurer tout le poids.
Il aura fallu que j'attende presque trente ans pour enfin comprendre que les démonstrations verbales sont souvent inutiles et que seule la force des instants partagés peut illustrer le sentiment amoureux. Cette force seule se suffit à elle même, et n'a pas besoin de commentaires, d'illustrations verbales ou de mots enflammés. Un beau silence est parfois la plus profonde des déclarations.
C'est fou c' que j' peux t'aimer,
C' que j' peux t'aimer, des fois,
Des fois, j' voudrais crier
Car j' n'ai jamais aimé,
Jamais aimé comme ça.
Ça, je peux te l'jurer.
Si jamais tu partais,
Partais et me quittais,
Me quittais pour toujours,
C'est sûr que j'en mourrais,
Que j'en mourrais d'amour,
Mon amour, mon amour...
C'est fou c' qu'il me disait
Comme jolis mots d'amour
Et comme il les disait
Mais il ne s'est pas tué
Car, malgré mon amour,
C'est lui qui m'a quittée
Sans dire un mot.
Pourtant des mots,'y en avait tant,'y en avait trop...
C'est fou c' que j' peux t'aimer,
C' que j' peux t'aimer, des fois,
Des fois, je voudrais crier
Car j' n'ai jamais aimé,
Jamais aimé comme ça.
Ça, je peux te l'jurer.
Si jamais tu partais,
Partais et me quittais,
Me quittais pour toujours,
C'est sûr que j'en mourrais,
Que j'en mourrais d'amour,
Mon amour, mon amour...
Et voilà qu'aujourd'hui,
Ces mêmes mots d'amour,
C'est moi qui les redis,
C'est moi qui les redis
Avec autant d'amour
A un autre que lui.
Je dis des mots
Parce que des mots,
Il y en a tant
Qu'il y en a trop...
Par exemple, Michel Rivegauche, le parolier fétiche d'Edith Piaf, écrit, à la fin des années 40, ce texte magnifique, qui nous rappelle que les mots, les mots d'amour, sont bien désuets, sont trop souvent utilisés, parfois à mauvais escient, où en tous cas sans en mesurer tout le poids.
Il aura fallu que j'attende presque trente ans pour enfin comprendre que les démonstrations verbales sont souvent inutiles et que seule la force des instants partagés peut illustrer le sentiment amoureux. Cette force seule se suffit à elle même, et n'a pas besoin de commentaires, d'illustrations verbales ou de mots enflammés. Un beau silence est parfois la plus profonde des déclarations.
C'est fou c' que j' peux t'aimer,
C' que j' peux t'aimer, des fois,
Des fois, j' voudrais crier
Car j' n'ai jamais aimé,
Jamais aimé comme ça.
Ça, je peux te l'jurer.
Si jamais tu partais,
Partais et me quittais,
Me quittais pour toujours,
C'est sûr que j'en mourrais,
Que j'en mourrais d'amour,
Mon amour, mon amour...
C'est fou c' qu'il me disait
Comme jolis mots d'amour
Et comme il les disait
Mais il ne s'est pas tué
Car, malgré mon amour,
C'est lui qui m'a quittée
Sans dire un mot.
Pourtant des mots,'y en avait tant,'y en avait trop...
C'est fou c' que j' peux t'aimer,
C' que j' peux t'aimer, des fois,
Des fois, je voudrais crier
Car j' n'ai jamais aimé,
Jamais aimé comme ça.
Ça, je peux te l'jurer.
Si jamais tu partais,
Partais et me quittais,
Me quittais pour toujours,
C'est sûr que j'en mourrais,
Que j'en mourrais d'amour,
Mon amour, mon amour...
Et voilà qu'aujourd'hui,
Ces mêmes mots d'amour,
C'est moi qui les redis,
C'est moi qui les redis
Avec autant d'amour
A un autre que lui.
Je dis des mots
Parce que des mots,
Il y en a tant
Qu'il y en a trop...
LE COUP DE MONG
Il fallait le faire, ce pari.
Faire venir au Grand Rex un groupe suisse inconnu en France, et les faire jouer en ouverture de la Nuit des Publivores, devant plus de 2.000 paires d’oreilles vierges, qui n’avaient jamais entendu le moindre son du dit groupe.
Quel courage ont-ils eu !
Le groupe Mong, c’est 10 ans d’expérimentations et de recherches musicales, pour aboutir à un son festif, riche et ouvert sur de multiples horizons.
La variété et la qualité de leur univers musical, fait d’incursions celtes, brésiliennes, orientales, rock, folk ou jazzy en a fait une très belle découverte, que j’espère avoir réussi à partager avec le public du Grand Rex.
Leur deuxième album, Solaire, vient de sortir, et est aussi un bon reflet de la « Mong Attitude ». Positif et intelligent, engagé et poétique, c’est un album qui réchauffe le cœur, et les oreilles (peut-être même aussi les yeux, avec la pochette pleine de soleil).
Leur musique variée, composée d’arrangements très riches, propose à l’oreille ravie des mélodies très construites, ou flûte, violon, contrebasse, guitare, et une multitude d’instruments du monde (sans parler des sets de batterie et de percussions) vous emmènent au « Pays des Fées » (un de leur titre, mon préféré, allez savoir pourquoi (je sais que quelqu’un sait, oui oui je te vois, tu viens d’avoir un léger sourire en lisant cela), et dans plein d’autres univers décalés et surprenants.
Si vous n’étiez pas au Grand Rex samedi dernier, je vous conseille d’aller visiter www.mong.ch, pour constater que le talent et la bonne musique est partout, et qu’il suffit juste d’un peu d’attention pour les partager.
Faire venir au Grand Rex un groupe suisse inconnu en France, et les faire jouer en ouverture de la Nuit des Publivores, devant plus de 2.000 paires d’oreilles vierges, qui n’avaient jamais entendu le moindre son du dit groupe.
Quel courage ont-ils eu !
Le groupe Mong, c’est 10 ans d’expérimentations et de recherches musicales, pour aboutir à un son festif, riche et ouvert sur de multiples horizons.
La variété et la qualité de leur univers musical, fait d’incursions celtes, brésiliennes, orientales, rock, folk ou jazzy en a fait une très belle découverte, que j’espère avoir réussi à partager avec le public du Grand Rex.
Leur deuxième album, Solaire, vient de sortir, et est aussi un bon reflet de la « Mong Attitude ». Positif et intelligent, engagé et poétique, c’est un album qui réchauffe le cœur, et les oreilles (peut-être même aussi les yeux, avec la pochette pleine de soleil).
Leur musique variée, composée d’arrangements très riches, propose à l’oreille ravie des mélodies très construites, ou flûte, violon, contrebasse, guitare, et une multitude d’instruments du monde (sans parler des sets de batterie et de percussions) vous emmènent au « Pays des Fées » (un de leur titre, mon préféré, allez savoir pourquoi (je sais que quelqu’un sait, oui oui je te vois, tu viens d’avoir un léger sourire en lisant cela), et dans plein d’autres univers décalés et surprenants.
Si vous n’étiez pas au Grand Rex samedi dernier, je vous conseille d’aller visiter www.mong.ch, pour constater que le talent et la bonne musique est partout, et qu’il suffit juste d’un peu d’attention pour les partager.
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