Trois petits chevaux
Sont sous un capot
Et vous emmènent coucher
Vers le soleil levant
Et vous emmènent rêver
Vers d’autres firmaments
Trois petits chevaux
Sont sous un capot
Et font battre votre cœur
A soixante dix à l’heure
Et font battre vos paupières
Sur mille nouvelles terres
Trois petits chevaux
Sont sous un capot
Et ouvrent de nouvelles voies
Qui nous laissent sans voix
Et ouvrent quelques horizons
Dont on invente les noms
Trois petits chevaux
Dans une boîte en fer
Une idée du paradis
Ou bien de l’enfer
Et le temps qui passe
Inlassablement
Le temps qui laisse filer
Le théâtre de nos vies
Le temps qui laisse rêver
Ceux qui en ont envie
Sont sous un capot
Et vous emmènent coucher
Vers le soleil levant
Et vous emmènent rêver
Vers d’autres firmaments
Trois petits chevaux
Sont sous un capot
Et font battre votre cœur
A soixante dix à l’heure
Et font battre vos paupières
Sur mille nouvelles terres
Trois petits chevaux
Sont sous un capot
Et ouvrent de nouvelles voies
Qui nous laissent sans voix
Et ouvrent quelques horizons
Dont on invente les noms
Trois petits chevaux
Dans une boîte en fer
Une idée du paradis
Ou bien de l’enfer
Et le temps qui passe
Inlassablement
Le temps qui laisse filer
Le théâtre de nos vies
Le temps qui laisse rêver
Ceux qui en ont envie
Merci.
http://routedeleau.blogspot.com
1 commentaire:
Merci à toi surtout, on aurait pas imaginé en faire tout un poème !
Les trois petits chevaux sont charmés et flatés, et les deux zozos qui les menaient sont pas peu fières d'avoir inspiré leur poète préféré !
Merci grand orateur, quand est-ce qu'on arrose ça ?
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