O belle Douleur lente et salvatrice du vers !
Tu enfouis à jamais ton poète dans l’Ether
L’appuies, le noie, l’étouffe, du haut des Enfers
Où tu le traînes, belle Maîtresse violente et fière.
Car c’est en ton sein que naissent ces belles choses
Alexandrins et sonnets, vers et proses
Oui, tu libères, Cruelle, en milliers de roses
Noires les larmes du poète…Métamorphose !
Surprenante création délirante, folle errance,
Tu as, Douleur, le pouvoir divin, méfiance,
De faire danser nos sens, nos esprits en transe,
Qui chavireront dans toutes tes confluences.
Tu enfouis à jamais ton poète dans l’Ether
L’appuies, le noie, l’étouffe, du haut des Enfers
Où tu le traînes, belle Maîtresse violente et fière.
Car c’est en ton sein que naissent ces belles choses
Alexandrins et sonnets, vers et proses
Oui, tu libères, Cruelle, en milliers de roses
Noires les larmes du poète…Métamorphose !
Surprenante création délirante, folle errance,
Tu as, Douleur, le pouvoir divin, méfiance,
De faire danser nos sens, nos esprits en transe,
Qui chavireront dans toutes tes confluences.
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