Quand il ne me restera
Que mes soupirs
Pour pleurer mes espoirs
Quand mes larmes brûleront
Les terres de mes rêves
Quand mon souffle faiblira
Face aux vagues de mon âme
Quand mes amours s’agiteront
Comme de vieux pantins désarticulés
Quand mes oreilles n’entendront
Plus rien de bon
Et que ma bouche ne dira
Plus rien de bien
Quand ma mémoire trébuchera
Sur les pierres de mes routes
Passées
Quand j’aurais compris
Que tout ce que j’ai fait
N’aura servi à rien
Et qu’il ne me restera
Que le bonheur désuet
De l’avoir accompli
Quand ce jour viendra
Je me souviendrai de toi
Et je t’attendrai
Réchauffé par l’espoir
Que tu te souviennes
Aussi.
Que mes soupirs
Pour pleurer mes espoirs
Quand mes larmes brûleront
Les terres de mes rêves
Quand mon souffle faiblira
Face aux vagues de mon âme
Quand mes amours s’agiteront
Comme de vieux pantins désarticulés
Quand mes oreilles n’entendront
Plus rien de bon
Et que ma bouche ne dira
Plus rien de bien
Quand ma mémoire trébuchera
Sur les pierres de mes routes
Passées
Quand j’aurais compris
Que tout ce que j’ai fait
N’aura servi à rien
Et qu’il ne me restera
Que le bonheur désuet
De l’avoir accompli
Quand ce jour viendra
Je me souviendrai de toi
Et je t’attendrai
Réchauffé par l’espoir
Que tu te souviennes
Aussi.
3 commentaires:
Toujours les bons mots (pour les bons maux) au bon moment. Ta plume est un attrape-coeur. Merci pour l'ecume legere, pour le rire, et merci aussi pour les profondeurs.
Sublime, j'en reste baba, jamais vu d'aussi belles courbes pedestres. Mais a qui donc appartiennent ces deux beaux attribus ? hein ?
ah ah ils sont beaux ces pieds, hein ?????????
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